Partie en quête d’une seconde lune de miel sur l’île Maurice, Vanessa Paradis a malheureusement vécu l’enfer au paradis, rapporte le magazine France Dimanche, qui se base sur une révélation de Voici.
Les destinations tropicales ne sont pas toujours synonymes de détente, et la chanteuse de 51 ans et son mari, Samuel Benchetrit, en ont fait l’amère expérience.
L’île Maurice, pourtant paradisiaque, a révélé ses dangers, des morsures de requin aux noix de coco mortelles en passant par les typhons dévastateurs, précise l’hebdomadaire, lequel contrairement à Voici, ne dévoile aucune photo de ce séjour.
Les vacances idylliques du couple ont pris une tournure inattendue lorsqu’ils ont failli perdre la vie, confrontés à la violence imprévisible du cyclone Belal.
Arrivés au Royal Palm le 8 janvier, Vanessa Paradis et Samuel Benchetrit avaient choisi un somptueux hôtel pour se ressourcer après le tournage éprouvant du film "Histoire d’un" avec Omar Sy. Cependant, après quelques jours de détente, la météo a pris un virage dramatique.
Le cyclone Belal, déjà responsable de ravages sur l’île de la Réunion, s’est dirigé vers l’île Maurice, apportant pluies torrentielles et vents violents. L’alerte maximale a été déclarée le 16 janvier, marquant le début du chaos. Privés d’électricité, les dégâts matériels et les pertes humaines ont terni le paysage paradisiaque.
Terrifiés par la perspective de rester bloqués au milieu de cette tempête dévastatrice, Vanessa Paradis et son homme auraient pris la décision de fuir en catastrophe le 14 janvier, deux jours avant l’impact prévu de Belal. Pas question de prendre des risques.
Leur rêve de vacances s’est brusquement interrompu, mais cela leur a permis de regagner Paris, où ils ont repris le travail sur leur dernier projet : une pièce de théâtre de Samuel, où ils partageront à nouveau la scène.
« Jouer avec son amoureux, ça pimente la vie », avait confié Vanessa Paradis dans Madame Figaro en avril dernier. Un piment qui a pris une teinte dramatique à 9 500 kilomètres de la capitale, « alors qu’ils échappaient de justesse à la mort ».
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