Alors que Clémence, candidate de l’Amour est dans le pré, s’apprête à convoler en justes noces ce soir, son père Richard n’a pas caché son désarroi en découvrant pour la première fois le visage de celui qui pourrait devenir son gendre, Malik. Ambiance tendue garantie !
Après un douloureux "non" l’an dernier, Clémence, la jolie trentenaire en quête de l’âme sœur, retente l’aventure romantique de M6.
Et cette audace pourrait bien payer ! Les expertes Estelle Dossin et Marie Tapernoux ont déniché pour elle un nouveau match compatible à 81% : Malik. Leur rencontre tant attendue aura lieu dans l’épisode de ce lundi 14 avril.
Mais l’approche du mariage met les nerfs du papa de Clémence à rude épreuve. Un scénario inédit a même poussé les expertes à revoir les règles : au lieu d’attendre l’arrivée du marié, c’est Clémence qui fera son entrée en premier !.
« C’est la première fois qu’une candidate vit un deuxième premier regard, donc on a adapté la cérémonie », explique Marie Tapernoux.
De son côté, Clémence se prépare au pire : "Je pars vraiment dans l’idée que tout scénario est envisageable. Positif ou négatif. C’est pourquoi je me prépare mentalement, en amont, comme un sportif".
Même son de cloche pour son père Richard, visiblement anxieux à l’idée de revivre le fiasco de l’année passée. "Revenir une deuxième fois ici, ça fait quelque chose. C’est vrai que je suis un peu inquiet. J’ai peur que ça ne le fasse pas", confie-t-il face aux caméras.
Et l’arrivée de Malik n’a pas vraiment rassuré le paternel ! "Richard est décomposé, stressé, petite mine, très anxieux, un peu dans le même état que l’année dernière", révèle Leila, une amie proche de Clémence. "La situation est anxiogène. L’histoire de l’année précédente rappelle des traumatismes. On sent qu’il a peur que ça ne se passe pas comme on aimerait que ça se passe".
Quant à Malik, découvrir sa future épouse déjà présente l’a complètement déstabilisé. "Je suis un peu chamboulé, ce n’est pas le scénario que je m’étais mis en tête. Ce n’est pas une inconnue face à moi", avoue l’électricien.
« Je perds mes mots complètement. C’est très bizarre, c’est comme si j’étais déconnecté de tout ressenti, ça m’est très rarement arrivé. Je suis tellement stressé que je suis dans ma bulle à ce moment-là. J’ai limite des œillères », a-t-il glissé.
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