Le prince Harry fait face à une menace d’expulsion vers l’Angleterre. Mais les Sussex ne comptent pas se laisser faire.
Le prince Harry déballe tout dans sa biographie, Spare, qui va paraître le 10 janvier. Il évoque sa relation avec Chelsy Davy, au risque de froisser Meghan Markle.
En printemps dernier, le New Idea assurait que la duchesse du Sussex « était » irritée par la proximité entre son mari et Chelsy Davy dont il est séparé depuis 2011.
L’héritier Windsor aurait pris contact des personnes proches, y compris Chelsy, afin de l’inciter à parler et à se livrer à J.R. Moehringer, l’auteur de sa biographie Spare.
« Elles lui ont toutes répondu poliment, ont promis d’y réfléchir, et au final, elles ont toutes dit non. », a confié une source proche du prince ;
Meghan Markle quant à elle « était furieuse lorsqu’elle a découvert qu’il avait parlé avec Chelsy ».
« Tout le monde sait qu’il aurait probablement épousé Chelsy si elle n’avait pas rechigné à l’idée d’une vie sous les projecteurs », disait une source.
Et cette proximité est confirmée par le prince Harry dans son ouvrage dont des extraits ont été publiés par la presse britannique.
Le prince Harry révèle que Chelsy Davy était « contrairement aux autres filles » n ’avait pas contracté le « syndrome du trône ».
« Contrairement à tant de gens que je connaissais, elle n’en avait que faire des apparences, de mon statut royal. Contrairement à tant d’autres filles que j’avais rencontrées, elle s’imaginait à quoi ressemblerait la couronne dès qu’elle me serrerait la main », a-t-il écrit.
Il s’imaginait mariée avec elle.
Ce terme « syndrome du trône » a surpris les proches de la famille royale. Le prince Harry semblait convaincu qu’il allait régner à la place de son frère William. Sa mère le lui aurait répété durant son enfance. « Il fera un bon roi », aurait-elle déclaré.
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