Le magazine France Dimanche l’affirme traumatisée par son père.

Née à Nice en 1960, Michèle Laroque a grandi avec des parents aux histoires de vie marquantes. Sa mère, Doïna Trandabur, danseuse et violoniste, était une réfugiée roumaine fuyant la dictature communiste.
Son père, Claude Laroque, promoteur immobilier, avait lui-même traversé des épreuves, passant dix ans en sanatorium suite à une tuberculose, rappelle la publication. Inquiet pour l’avenir de sa fille, il était strict et exigeant, souhaitant la voir réussir à tout prix.
L’actrice s’est laissé aller à quelques confidences lors d’un entretien accordé à Paris Match, révélant les pressions qu’elle a subies enfant.
« Il voulait tellement que je réussisse qu’il m’imposait des exigences constantes ! Enfant, j’en souffrais. À table, au lieu d’un déjeuner tranquille, mon père me testait… “Quelle est la capitale du Congo ?” J’étais tétanisée, alors il m’envoyait dans ma chambre trouver la réponse. Il voulait me rendre forte, mais cela a altéré ma confiance. ».
À 63 ans, Michèle Laroque se souvient de ces moments avec plus d’indulgence, reconnaissant que cela l’a forgée et l’a rendue moins manipulable. Ce caractère fort l’a peut-être aussi poussée à mettre fin à sa relation de quinze ans avec François Baroin. Une décision difficile, mais qui montre sa détermination à être maître de son propre destin.