"Sale homme blanc privilégié cisgenre", écrit-elle dans son livre Le Génie Lesbien", (Grasset) où elle appelle les femmes à se purifier de la pensée mâle", en ignorant les oeuvres faites par les hommes.
"Il ne suffit pas de nous entraider, il faut, à notre tour, les éliminer, écrit la militante féministe dans son essai publié fin septembre. Les éliminer de nos esprits, de nos images, de nos représentations. Je ne lis plus de livres des hommes, je ne regarde plus leurs films, je n’écoute plus leurs musiques. J’essaie du moins".
"Les productions des hommes sont le prolongement d’un système de domination. Elles sont le système. L’art est une extension de l’imaginaire masculin. Ils ont déjà infesté mon esprit. Je me préserve en les évitant. Commençons ainsi. Plus tard, ils pourront revenir", a-t-elle ajouté.
Ces propos ont été dénoncés par Nicolas Bedos, qui les met en parallèle avec la pensée de Gisèle Halimi, sa marraine, qui n’était "que dialogue, nuance, pensée élaborée".
"Toi qui fit tant pour les femmes et aimait tant les hommes. Tes merveilleux combats traversent des heures bien sombres".
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