Michel Drucker a été trahi alors qu’il était au plus mal, rapporte le magazine Paris Confidences, qui évoque aussi un coma éthylique.
Au prise avec de gros ennuis de santé l’an dernier, Michel Drucker a eu l’occasion d’en parler à plusieurs reprises, comme le rappelle Intimité Dimanche.
L’animateur de Vivement Dimanche avait eu l’impression qu’une bombe à fragmentation a explosé en lui.
Rétabli, il raconte son opération cardiaque qui a duré sept heures. A l’hôpital, il était devenu parano.
« Dès la première minute après mon arrivée, j’ai commencé à redouter la photo volée », a-t-il indiqué, dans son livre « Ça ira mieux demain, rappelant que des images similaires sont sortie de la prison de la Santé ou du palais de l’Elysée, jamais à ma connaissance de l’hôpital Pompidou ».
Et plus loin, encore : « Bien parano, je me demande si Voici et Closer ne paient pas des indics dans les gros CHU comme ils en ont dans les palaces. Les problèmes de santé, l’agonie, la mort vendent très bien ».
« J’ai perdu mon intimité, avait-il écrit. Ici, je suis devenu cette chiffe qu’on habille ou déshabille, qu’on lave, qu’on frictionne, qu’on fait uriner avant de l’asseoir sur le pot comme un enfant de soixante-dix ans sonnés ».
Et sa crainte est les infirmières commente ses parties intimes.
« Je suis passé par tous les stades. Ce qui m’est arrivé est une vraie scoumoune », disait-il. A force d’entendre dire « Drucker a un mental de sportif et une hygiène irréprochable », j’ai fini par croire que j’étais inoxydable. Tout cela m’a sauvé la vie, alors que j’ai subi une cascade de pépins : une bactérie a infecté une partie de mon cœur, la valve mitrale, la jambe, j’ai eu un triple pontage, et j’avais aussi des petits signes d’AVC ».
Ces articles devraient vous intéresser :