Invité de Un dimanche à la campagne ce dimanche 8 octobre sur France 2, Pascal Obispo ne se livre pas sur sa vie sentimentale et encore moins sur sa présumée relation avec Sonia Mabrouk. En revanche, le chanteur a évoqué ses difficultés financières.
Ce dimanche, Pascal Obispo était l’invité de l’émission "Un dimanche à la campagne" sur France 2. Lors de cet échange avec Frédéric Lopez, l’ex-coach de The Voice n’a pas abordé sa vie sentimentale ni les rumeurs entourant sa présumée relation avec Sonia Mabrouk . Cependant, il a ouvert son cœur en évoquant les difficultés financières qu’il a traversées dans sa jeunesse.
À l’âge de 26 ans, Pascal Obispo jonglait entre la création de ses premières maquettes musicales et son emploi dans une célèbre enseigne. Il se souvient de cette période avec émotion : « Quand je travaillais à la Fnac, c’était devenu intenable. J’arrivais le matin épuisé, c’était impossible. Alors j’ai pris la décision d’arrêter, j’ai été au chômage, et c’était aussi le dernier mois où je touchais le RMI, l’ancêtre du RSA. J’étais à court de ressources, je n’avais plus rien, donc c’était la fin. Je n’avais pas de plan B. Il me restait 800 francs sur mon compte, et c’était tout ».
Pascal Obispo a expliqué que, à l’époque, il signait des contrats principalement pour se faire connaître. Son véritable amour était la composition musicale, et il rêvait de créer des mélodies pour d’autres artistes.
Papa d’un enfant, le chanteur a aussi évoqué les difficultés financières qu’il a connues pendant son enfance. Son père, un ancien footballeur, ayant quitté le foyer alors qu’il avait 8 ans.
« Mon père ne payait pas la pension. En réalité, il la retardait, la retardait, la retardait... Et puis, il retardait tellement qu’il payait le mois suivant, mais en sautant un mois, c’était un peu comme un suspense », se souvient celui qui a été repéré au printemps dernier avec Sonia Mabrouk, la journaliste star de C News et Europe 1. « Nous étions au courant de tout cela parce que ma mère se plaignait... Nous attendions cette pension, mais c’était compliqué, nous n’avions pas d’argent ».
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