De retour à Los Angeles après avoir présenté à Paris une exposition dédiée à Johnny Hallyday, le père de ses enfants, Laeticia Hallyday, qui a commencé à écrire ses mémoires, a « bien du mal à ne pas ressasser ses souvenirs ». Même les plus douloureux. Des détails sont donnés par le magazine Closer.
L’hebdomadaire qui dévoile des photos d’elle en balade solitaire dans les rues de Los Angeles relate quelques traumatismes dont ses nombreuses fausses couches.
Mais le traumatisme qui lui aurait fait terriblement mal est son conflit avec Laura Smet, sa belle-fille, laquelle était rentrée dans sa vie en 1995.
L’adolescente, huit ans plus jeune que sa future belle-mère, « sème très vite la zizanie dans la famille ».
Comme le rappelle Closer voyait en cachette sa fille pour éviter des frictions avec son épouse.
Une anecdote surprenante à propos d’un logement « qui a cristallisé les tensions dans les années 2000 est racontée par “l’ami de cinquante ans” du rockeur, Marc Francelet, à la fois chasseur de scoops, confident de stars et trafiquant d’art ».
Dans son livre L’Aventurier de la Ve République dont la sortie est prévue le 7 février aux aux éditions Nouveau Monde), il affirme avoir été approché par Johnny Hallyday afin de retrouver un appartement à Laura”, à Paris.
Une consigne lui a été donnée, celle de ne « pas en souffler un mot à Laeticia ». Mais celle-ci finira par l’apprendre. Un montant maximal de 2,5 millions d’euros a été imposé. « Tout juste de quoi acheter “une belle caravane”, selon Francelet, qui fait finalement rédiger “un contrat de vente bidon”.
Il précise que “Johnny était heureux, autant d’offrir un joli appartement à sa fille que de berner sa femme chérie ».