Matthieu Delormeau, accusé par certains internautes d’être la taupe de Juan Branco auquel elle aurait fourni des détails croustillants sur la vie sentimentale de Cyril Hanouna, notamment sur sa présumée relation avec Kelly Vedovelli, met les pendules à l’heure. Il dévoile les véritables raisons de mon départ de TPMP enfin révélées.
Il n’aurait pas trahi Cyril Hanouna.
Depuis plusieurs jours, les réseaux sociaux s’enflamment autour d’une prétendue révélation de Matthieu Delormeau sur la vie amoureuse de Cyril Hanouna. Des accusations d’infos balancées et de trahison envers l’animateur de C8, notamment concernant sa supposée relation avec Kelly Vedovelli. Mais le chroniqueur vedette de "Touche pas à mon poste" a tenu à mettre les choses au clair. Il dénonce indirectement ces rumeurs, en révélant enfin les véritables raisons de son départ.
Les fans de l’émission doivent se résigner : Matthieu Delormeau ne fera pas son retour sur le plateau. Si l’animateur avait déjà quitté l’émission une première fois en 2020 avant d’y revenir un an plus tard, cette fois-ci il affirme qu’il n’y aura pas de marche arrière possible. "Ce serait très irrespectueux. Et il faut la carrière d’Aznavour pour faire 10 fois sa tournée d’adieu ! C’est définitif. C’est déjà du passé au moment où je vous parle. Je commençais un peu à m’ennuyer et ça, je pense que c’est le pire dans ce métier", confie-t-il.
Outre l’ennui, Matthieu Delormeau avoue que les tensions avec certains membres de l’équipe ont également joué un rôle dans sa décision. Surtout avec Gilles Verdez qu’il méprise depuis qu’il n’a pas pris position contre les joueurs du PSG refusant de porter un maillot contre l’homophobie.
Cependant, il assure garder toute son amitié envers Cyril Hanouna, même s’il reconnaît quelques désaccords. "Bien sûr, j’ai quelques mauvais souvenirs, sinon je serais resté. Mais, si vous me le permettez, je les garderai pour moi et ma psy", conclut l’ex-chroniqueur, comparant son départ à un "divorce à l’amitié", à l’image des paroles de la chanson de Michel Sardou.