Une récente déclaration de Mourad Boudjellal, l’ancien président du club de rugby de Toulon, pourrait titiller la jalousie de Brigitte Macron. Son mari, Emmanuel Macron, pourrait inonder de biseau, et le capitaine de l’équipe de rugby Antoine...
En 1995, Pierre Palmade, qui serait toujours soigné à Bordeaux pour ses additions, s’était retrouvé face à la justice pour une affaire liée à l’usage de stupéfiants. Et il a reçu un message réconfortant d’une proche de Brigitte Macron.
Il a été impliqué dans une affaire de drogue, une
liste impressionnante de personnalités parisiennes qui se fournissaient en cocaïne. Et parmi elles, figurait le nom de Pierre Palmade.
Dans son livre intitulé "Dites à mon père que je suis célèbre", l’humoriste évoque cet épisode marquant de sa vie. Il partage les détails de son procès, où il se souvient du silence solennel qui règne dans la salle d’audience lorsque le procureur entame son réquisitoire. Les mots du procureur, évoquant la loi, le mal et la justice, semblent lui échapper alors qu’il réalise que les concessions ne seront pas faites en sa faveur. Mais c’est la conclusion du procureur qui le frappe comme une claque : "Et pour toutes ces raisons, je demande 10 000 francs d’amende et 4 mois de prison avec sursis."
La sentence, bien que clémente, provoque une onde de choc en lui. Pierre Palmade se retrouve submergé par des pensées sombres, envisageant même le suicide. Il se tourne vers son avocat, cherchant désespérément du réconfort et ne comprenant pas comment une peine de prison, même avec sursis, peut être prononcée pour une simple consommation de cocaïne. Son avocat plaide sa jeunesse, sa fragilité, tentant de trouver des arguments en sa faveur.
Huit jours d’attente angoissante séparent le procès du verdict final. Huit jours de néant, durant lesquels l’idée de mourir lui traverse l’esprit à chaque mention de prison. Finalement, le soulagement arrive : Pierre Palmade est condamné à une amende de 10 000 francs, sans peine de prison, ni ferme ni avec sursis. Malgré ce verdict favorable, la honte persiste.
C’est dans cette période troublée que Line Renaud, une proche de Brigitte Macron, lui adresse un message réconfortant. Elle lui laisse entendre qu’il doit se concentrer sur son travail, car « la mémoire des lecteurs est éphémère ».
« Allô Pierre, c’est Line, nous ne nous connaissons pas beaucoup mais je crois savoir que vous avez des problèmes… Travaillez ! Travaillez, la mémoire du lecteur c’est quinze jours ! », lui a-t-elle écrit.
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