« Pendant la dernière campagne présidentielle, parce qu’il fallait se réconcilier, je montais dans l’avion avec lui, mais je le saluais en disant : ’Bonjour, le guignol’, puis je disais : ’Vous ne trouvez pas que ça sent le nazi ici ?’ Le grand facho, il se cachait derrière son journal, les hôtesses étaient mortes de rire ! », raconte l’ex garde des sceaux.
Et elle évoque aussi le jour où elle a mis un droite à l’ex ministre l’immigration et de l’identité nationale.
« Un jour, devant un ascenseur, je lui dis : ’Alors le facho, ça va ?’ Il me répond : ’Ça va, intrigante.’ Là, je me retourne et je lui mets un coup de poing dans la gueule, et il se mange le miroir » se souvient la député européenne.
Nicolas Sarkozy a réussi à mettre fin à leurs brouilles.
« Qu’est-ce que t’as encore fait ?’ Je lui dis : ’Il m’a insultée.’ Et lui :’Arrête de le chercher », précise-t-elle.