Très affaibli après avoir renoué avec l’alcoolisme, Renaud peut heureusement compter sur le soutien d’un noyau de proches.
« Noyé dans sa détresse et ses tourments, il lui reste encore quelques copains qui ne l’ont pas ‘laissé béton’. Parmi eux, son frère, David Séchan, qui il y a un an, s’était dit ‘boulversé par son retour qui relève du miracle », rapporte le magazine Ici Paris qui revient cette semaine sur la descente aux enfers de l’artiste.
Son frère expliquait l’an dernier que la thérapie de Renaud « c’est le disque et la scène ».
« Dès qu’il arrête, il retombe en enfer », disait-il.
Ce qui manque à Renaud, c’est de retomber amoureux.
« J’ai tout pour être heureux. Mais je n’ai pas de gonzesse. C’est comme si je n’avais plus de libido. Comme si j’étais condamné à vivre avec mes assistants… Et puis je n’ai plus envie d’être le coureur de jupons que j’étais naguère », expliquait le chanteur, séparé de Romane Sarda , la mère de Malone.
Il en profitait pour faire part de ses regrets de ne pas avoir été présent pour son fils, qu’il a négligé durant sa période trouble.
« Pendant neuf ans, j’ai ressenti une immense culpabilité vis-à-vis de Malone. Immense… Je l’ai ignoré durant toute cette période, je n’étais pas un bon père. Depuis que j’ai arrêté de boire, je le vois deux fois par semaine et ça me fait beaucoup de bien, j’essaie de lui transmette mes valeurs : l’amour des gens, des livres, de la musique et des arts. On fait des balades dans la forêt de Meudon, où il vit avec mon ex-femme », avait-t-il poursuivi.
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