Sébastien Cauet, l’animateur star de NRJ, est présenté par un magazine people, comme un prédateur sexuel, suite à des accusations de viol. Et finalement, il a l’opportunité de livrer sa version des faits lors d’un échange avec les enquêteurs.
La réputation de Sébastien Cauet, l’animateur vedette de NRJ, est actuellement entachée par de graves allégations.
Le magazine France Hebdo le présente dans sa dernière édition comme un « prédateur sexuel » à la suite d’accusations de viols. Le présentateur a eu l’occasion de répondre à ces allégations lors de son audition devant les enquêteurs.
Les avocats de Sébastien Cauet ont en effet publié un communiqué confirmant son entretien avec les services de la BRDP de Paris, dans le cadre des plaintes qu’il a déposées à l’encontre de ses accusatrices. L’animateur de 51 ans, visé par trois plaintes pour viols et agressions sexuelles, a décidé de faire face à la situation en cherchant à faire éclater sa vérité.
Outre les accusations portées contre lui, Sébastien Cauet a également contre-attaqué en déposant une plainte pour cyberharcèlement, ainsi qu’une autre plainte auprès du parquet de Nanterre. Cette dernière concerne « tentative d’extorsion de fonds en bande organisée, dénonciation calomnieuse, faux et usages contre personnes non dénommées ». Selon son avocat, Me Simon Clémenceau, un groupe de personnes aurait tenté de manipuler des individus pour porter de fausses accusations contre Cauet dans le but d’obtenir de l’argent.
L’animateur, suspectant une « organisation délinquante », affirme être victime d’une tentative d’extorsion de fonds estimée à « au moins une centaine de milliers d’euros ». Bien que aucune confrontation n’ait encore eu lieu entre Cauet et ses accusatrices, l’animateur a été entendu par des enquêteurs.
Dans leur communiqué, les avocats de Sébastien Cauet ont souligné qu’il a été reçu en qualité de plaignant et que cette audition fait suite à l’enquête ouverte par le Parquet de Nanterre. Ils affirment que Cauet est « déterminé à lutter contre les accusations mensongères » et expriment une confiance totale envers la justice pour faire la lumière sur les faits. L’enquête, complexe et en cours, reste à suivre de près.
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