Florent Pagny a assuré une tournée estivale malgré sa rechute de cancer des poumons. Et son quotidien, même s’il n’en parle pas beaucoup, serait difficile. Le traitement ne serait pas si serein. Caroline Receveur qui combat aussi le cancer a décidé de parler.
Les projecteurs restent braqués sur l’ex-coach de The Voice, qui poursuit vaillamment sa tournée estivale malgré sa rechute de cancer des poumons . Alors que le chanteur n’aborde pas souvent les détails de son quotidien, les coulisses semblent évoquer un parcours difficile, loin de la sérénité apparente, comme l’avait rapporté le magazine Les traitements ne seraient pas aussi paisibles qu’on le penserait. Mais il n’est pas seul dans ce combat.
Caroline Receveur, elle aussi en lutte contre le cancer , a choisi de briser le silence. Le 25 juillet dernier, elle révélait être touchée par un cancer du sein "agressif mais découvert précocement". Pourtant, le 16 août, une réalité moins glorieuse se dessine alors qu’elle partageait sa vie sur Instagram. Dans sa story, un nouveau look capillaire accompagné d’un carré mi-long surmonté d’une frange naturelle. "Feeling myself again", a-t-elle écrit. Toutefois, quelques heures après, un revirement : elle se retrouve aux urgences, dévoilant ainsi un côté plus sombre de son parcours.
La raison de cette nouvelle épreuve ? Les chimiothérapies, qui laissent ses défenses immunitaires au plus bas, la rendant vulnérable aux infections et aux pics de fièvre. "Avec les chimios, à chaque infection ou poussée de fièvre, il faut tout vérifier rapidement", a-t-elle expliqué. "Ce soir, on était sur un Zona, la dernière fois un Covid, what’s next ?" Ce récit met en lumière la douleur silencieuse de son quotidien.
De son côté, Florent Pagny n’a pas caché avoir enduré des épreuves difficiles pendant son traitement. Pourtant, l’idée de se plaindre ne fait pas partie de son répertoire.
« Il faut être vigilant. Cela fait deux reprises qu’on a réussi à éloigner ce truc-là, cette me*de, mais cela n’empêche pas qu’elle peut revenir à n’importe quel moment », a-t-il reconnu. « Je vais continuer mes traitements parce que mon histoire ne s’arrête pas là. J’en ai pour quelques années à prendre des produits, à avoir des injections toutes les trois semaines, mais ce n’est pas parce qu’on a ça, qu’on peut pas faire son activité.. »
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