Pour l’occasion, l’hebdomadaire évoque une petite anecdote survenue en décembre 2014, à l’occasion du sommet sur le climat qui se tenait dans la capitale péruvienne.
Au dernier moment, la ministre de l’écologie ’décide de s’y rendre alors que Laurent Fabius prépare ce déplacement depuis plusieurs semaines.’.
Et comme il n’y avait plus de place sur les lignes commerciales’, Ségolène Royal ’téléphone à François qui, magnanime, lui « prête » l’Airbus présidentiel.
’Fabius mange son chapeau et voyage avec sa collègue. Comme souvent, le sommet se prolonge. Ségolène rentre à Paris avant la fin, laissant Fabius sur le carreau. Furibard, le ministre des Affaires étrangères rejoint la France deux jours plus tard avec une compagnie low cost — outrage suprême’, commente VSD.
Depuis son entrée en fonction en avril 2014, l’ex rivale de Valérie Trierweiler se serait employée à ressouder ’les liens avec le père de ses quatre enfants’.
’L’amertume et la colère suscitées par le tweet vengeur de Valérie Trierweiler pendant la campagne législative de 2012 sont aujourd’hui remplacées par la proximité et la complicité’, commente l’hebdomadaire.