
Au lendemain de son départ de Star Academy sur TF1, Axel lève le voile sur son ressenti après son élimination face à Julien dans une prise de parole sur Instagram dont il a récupéré le contrôle.
Samedi 25 janvier, les téléspectateurs devront choisir entre Ebony et Marine pour remporter la saison 2024 de la Star Academy. Cependant, l’huissier de justice chargé de surveiller les votes depuis le début de la saison connaît déjà les tendances principales.
Dans une interview vidéo accordée à la chaîne Youtube Avosstages en mars 2024, Maître Simonin a livré quelques informations sur le déroulement du processus de vote, pour lesquels les téléspectateurs peuvent d’ailleurs se faire rembourser.
Il a notamment expliqué qu’il n’y a pas d’outil de surveillance automatisé, mais une surveillance humaine du système. Cette semaine, les téléspectateurs sont invités à choisir entre Ebony et Marine pour la victoire de cette douzième saison.
Maître Simonin, qui assure « un contrôle permanent du bon fonctionnement », suit l’évolution des votes en temps réel depuis l’ordinateur de son bureau, un lieu stratégique et sécurisé.
« Il y a un vigile devant mon bureau », précise-t-il, soulignant la sensibilité des données. Il affirme avoir « une grande connaissance des favoris de chaque émission » et avoir ainsi « plus qu’une idée de qui va gagner la Star Academy », tout en précisant que cette information est « totalement confidentielle » en raison du secret professionnel auquel il est tenu.
« Un huissier c’est quelqu’un à qui on va raconter des choses et qui ne va pas les raconter à la terre entière. Il y a une confidentialité extrême pour toutes ses actions », insiste Maître Gérald Simonin.
Enfin, le commissaire de justice réfute l’idée reçue d’une possible manipulation des votes par la production. Il souligne que l’heure de clôture des votes est fixée à l’avance.
« On a toujours cette illusion de penser que la production va arrêter les votes quand ça va l’arranger, comme si elle avait systématiquement un candidat préféré... Ce n’est pas le cas. La production se plie à la volonté du public qui vote, sinon à quoi bon le faire voter ? », conclut-il.
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