Sophia Chikirou, la présumée compagne de Jean-Luc Mélenchon, s’en est prise à François Hollande, comparant son mouvement aux punaises de lit.
Valérie Trierweiler a accordé un entretien à la BBC, dans le cadre de la promotion de ’Merci pour ce moment’, son brûlot qui s’est écoulé à plus de 500000 exemplaires.
Et à cette occasion, la journaliste de ’Paris Match’ pourrait confirmer avoir été ’droguée’ lors de son hospitalisation à la Pitié Salpetrière, où elle avait été admise juste après le déballage de ’Closer’ faisait état de l’idylle du chef de l’État et Julie Gayet.
L’ex première dame aurait en effet été abrutie aux médicaments pour éviter de rejoindre le président de la république à Tulle, où il était en déplacement.
’Là encore, mes souvenirs sont vagues, avait écrit Valérie Trierweiler dans son brûlot avant de livrer quelques pistes pour expliquer son état : ’Peut-il en être autrement avec la dose astronomique de tranquillisants qu’on m’administre ??’.
’Ma tension est au plus bas. Je n’en comprendrai la raison que plus tard. Les doses de tranquillisants ont été surmultipliées pour m’empêcher d’aller à Tulle’, a-t-elle glissé.
Ces propos n’ont pas manqué d’être repris par Kristy Ward, la journaliste de BBC qui a réalisé l’interview.
Elle a en effet demandé à l’ex première dame s’il était « habituel » en France qu’un président de la République « drogue » celle qui partage sa vie pour éviter qu’elle ne brise le silence.
La réponse livrée par la journaliste de ’Paris Match’ ne sera connue que le 24 novembre, date à laquelle cet entretien sera diffusé.
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