
Inès Reg et Valérie Trierweiler s’étaient retrouvées au cœur d’une vive polémique suite à des propos tenus par l’humoriste dans son spectacle. Leur conflit remonte à leur participation à Pékin Express, l’aventure de M6.
Même si Valérie Trierweiler se fait discrète en ce moment, elle est loin d’en avoir fini de son règlement de compte avec François Hollande, sur lequel elle a balancé dans « Merci pour ce moment », le grand succès de l’an dernier.
C’est ce que rapporte « VSD » dans sa dernière édition, qui rappelle que la petite entreprise de l’ex première dame est en « pleine prospérité », au point d’interpeller nos philosophes dont Michel Onfray.
« Le livre de Trierweiler, écrit Michel Onfray, va être adapté au cinéma. Puis en BD, au théâtre, en alexandrins, en film classé X, en essai phénoménologique… » La formule est lapidaire, mais pourquoi faire plus long quand un simple tweet suffit ? », s’interroge l’hebdomadaire avant de revenir sur le projet de film de l’ex première dame.
On n’en a pas fini avec Valérie Trierweiler prédit la publication. « Façon chewing-gum indécollable. Façon tentacules gluants dont François Hollande n’est pas près de se libérer », commente VSD.
La journaliste de « Paris Match » avait pourtant assuré que son brûlot n’avait rien « d’une histoire de vengeance » et n’était pas destiné à détruire son ex, mais à pour « lui permettre à elle de se construire ».
« Soit. Avec sept cent mille exemplaires vendus (en tête des ventes en 2014), 1,5 million d’euros bientôt sur son compte, cette non-revanche a déjà de sacrés airs de vengeance à succès », poursuit le magazine. « Avec des chances de doubler cette somme si ses tribulations amoureuses sont relatées à l’écran, il ne s’agit plus d’une simple reconstruction mais de l’édification d’un palace avec parpaings en or massif. De quoi aveugler le premier d’entre nous, le roi soleil qui loge à l’Élysée », conclut VSD.
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