Lors de l’émission des Grosses Têtes sur RTL le 26 juin, Valérie Trierweiler a évoqué la campagne de François Hollande en Corrèze pour les élections législatives.
Le calme de la nuit de jeudi à vendredi s’est brisé chez Valérie Trierweiler, alors que la police a dû intervenir pour mettre fin à une violente altercation entre ses deux fils, âgés de 26 et 29 ans. Un choc pour l’ex-première dame.
L’appartement de la journaliste, situé dans le XVIe arrondissement de Paris, a été le théâtre de cet incident familial qui a laissé les voisins alertés par des cris et des bruits de meubles.
D’après Le Parisien, l’altercation a éclaté sous l’emprise de l’alcool. L’un des fils de Valérie Trierweiler gisait au sol, sa bouche ensanglantée, et se montrait particulièrement agressif, tenant des propos incohérents. Son frère, torse nu, semblait être plus calme. La scène s’est déroulée sous les yeux de l’épouse de l’un des frères, et l’ex de François Hollande présente sur les lieux était visiblement désemparée.
Pour rétablir l’ordre dans l’appartement, les policiers ont dû recourir à des mesures énergiques. L’un des frères, particulièrement agressif, n’a pas hésité à insulter les forces de l’ordre et à reprocher à sa mère d’avoir appelé la police. Les forces de l’ordre ont dû user d’un pistolet à impulsions électromagnétiques pour maîtriser le jeune homme qui était devenu incontrôlable.
Finalement, il a été menotté, sans que de graves blessures ne soient à déplorer lors de l’incident.
Valérie Trierweiler a confié aux policiers que son fils ne souffrait pas de problèmes d’alcool mais traversait une période difficile.
Le parquet a néanmoins demandé une convocation au commissariat des deux fils impliqués, qui ont été entendus ce vendredi après-midi en audition libre pour des faits de violence intrafamiliale et sur personne dépositaire de l’autorité publique. Valérie Trierweiler a également été auditionnée en tant que témoin, et aucune interpellation n’a eu lieu à ce stade.
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