
Florent Pagny est un gentleman. Et Vanessa Paradis pourrait ne pas avoir envie de dire le contraire, à en croire le jour où le chanteur a volé à son secours, alors qu’ils étaient en couple.
Vanessa Paradis devrait sans doute rester vigilante s’elle espère que l’héritage de ses deux enfants, Lily-Rose et Jack, ne soit pas dilapidé par leur papa, Johnny Depp, qui en serait proie à une maladie bien particulière.
D’après Challenges, qui reprend la presse américaine, le héros de Pirates des Caraïbes souffrirait l’oniomanie ou trouble de l’achat compulsif.
L’oniomanie se définit par le besoin impérieux d’acheter. Cette véritable maladie dont souffre l’ex de Vanessa Paradis a été découverte par le psychiatre allemand Emil Kraepelin.
Il s’agit d’une forme de trouble obsessionnel compulsif. « Comme la plupart des achats compulsifs, les choses achetées sont souvent inutiles. La personne se sent généralement triste après avoir réalisé son achat. La cause de ce trouble se trouve souvent dans la petite enfance (sensation de vide). La prise en charge repose sur la thérapie comportementale et les antidépresseurs », est-il indiqué.
« Si je devais partir demain, est-ce que j’aurais le sentiment d’avoir tout accompli ? À chaque fois, je me dis que non. Mais j’essaie de ne pas trop y penser car lorsqu’on éprouve cette crainte de la mort, on ne profite pas pleinement de l’existence », lançait d’ailleurs l’acteur.
Pour Télé Star cette fois la volonté de profiter de chaque instant de la vie a été le véritable credo de l’acteur de 54 ans.
Et il lui a coûté cher, comme l’affirmait The Management Group (TMG), la société qui gère ses intérêts et qui le poursuit la star pour « un remboursement en souffrance ».
Ces dernières années, Johnny Depp aurait dépensé deux millions de dollars par mois ! Entre autres, il a déboursé 75 millions de dollars pour acheter 14 maisons, 18 millions pour son yacht ou encore 700 000 dollars par mois pour du bon vin.
Johnny Depp a répliqué et « accuse TMG de lui avoir fait perdre 25 millions de dollars sur son patrimoine, plus six millions de dollars en frais de pénalités et d’amendes dus aux impôts américains entre 2 000 et 2015.
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