Christophe Dechavanne s’est pris un gros vent après avoir tenté de draguer Adriana Karembeu, invitée la semaine dernière de Quelle Époque, le rendez-vous de Léa Salamé sur France 2.
Alain Delon, un mystère insaisissable sur le tournage d’"Une chance sur deux" avec Vanessa Paradis et Jean-Paul Belmondo !
Vanessa Paradis aurait été surprise par le comportement d’Alain Delon, avec lequel elle a collaboré en 1998. Il se tenait à l’écart. Des précisions sont livrées par le réalisateur Patrice Lecomte.
Dans les coulisses des grands films français, BMFTV nous plonge dans le passé de "Une chance sur deux" de Patrice Lecomte, sorti en 1998. Cette comédie rassemble deux légendes du cinéma français, Jean-Paul Belmondo et Alain Delon, dans leur ultime collaboration.
Il est question d’Alice, une jeune délinquante interprétée par Vanessa Paradis, à la recherche de son père sur la Côte d’Azur, qui se trouve être l’un de deux hommes aimés par sa mère.
Sur le plateau, Vanessa Paradis est choyée par les deux acteurs emblématiques, mais le réalisateur, Patrice Lecomte, dévoile une compétition subtile entre eux. Jean-Paul Belmondo, généreux et chaleureux, se montre accessible et amical avec l’équipe technique, déjeunant en leur compagnie tous les jours et saluant chacun d’un bonjour matinal. Un homme simple et humble, à l’image de son personnage.
En revanche, Alain Delon, fidèle à sa légende d’acteur insaisissable, s’isole souvent dans sa caravane et préfère se déplacer en hélicoptère. "Il était gentil, mais ce n’était pas pareil qu’avec Bébel, qui rigolait tout le temps avec nous", confie Francis Bataille, l’un des cascadeurs présents sur le tournage. À Monte-Carlo, où la foule était présente, Jean-Paul Belmondo signait des autographes, tandis qu’Alain Delon préférait rester en retrait.
Après "Une chance sur deux", il s’agit du dernier grand film pour ces deux monstres sacrés du cinéma français. En 2001, Jean-Paul Belmondo a malheureusement subi un AVC qui a affecté sa santé, et Alain Delon a annoncé sa retraite cinématographique en affirmant qu’il avait tout dit au cinéma. Ainsi, les deux icônes ont marqué l’histoire du cinéma français de leur présence unique, chacun à leur manière, sur et hors caméra.
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