La comédienne s’est confiée lors d’un entretien avec le magazine « Closer » pour la promotion du téléfilm « La Bonne Dame de Nancy », retransmis sur France 3, ce mardi 3 mai.
Dans cette fiction, l’ex héroïne de la série « Julie Lescaut » endosse le rôle de Simone Weber, qui a été condamnée en 1991 à vingt ans de prison pour avoir tué son ancien amant.
Contrairement au personnage qu’elle campe, Véronique Genest ne cède pas très facilement à la jalousie.
« A partir du moment où quelqu’un a cessé de vous aimer, on ne peut pas le forcer : il faut s’en aller. Moi, j’ai une confiance et un pardon absolus. Même dans la passion, je peux concevoir la tromperie chez un homme, sur une pulsion, parce que les hommes sont biologiquement différents. Honnêtement, je pardonne ça très facilement et, à la limite, je ne veux même pas le savoir ! », affirme la comédienne de 59 ans, mariée avec le producteur Meyer Bokobza, 69 ans.