Mgr Raphaël Steck, archevêque de l’Union apostolique gallicane, a côtoyé de près le couple présumé et témoigne d’une toute autre réalité.
Dans une interview accordée à Closer, l’homme de foi affirme avoir passé un week-end en avril 2018 dans la propriété du Loiret en compagnie de l’acteur et de son ancienne assistante. Selon lui, les gestes tendres entre Alain Delon et Hiromi Rollin ne laissaient aucune place à l’ambiguïté.
"De par leurs gestes d’affection, leurs baisers, ils formaient un couple", raconte-t-il. Il évoque également un dîner au restaurant L’Auberge du Cheval Blanc où le couple affichait leur complicité : "Alain Delon a tenu la main d’Hiromi à table. Elle veillait amoureusement sur lui."
Cette version tranche avec celle présentée par les enfants Delon, qui ont accusé Hiromi Rollin de manipulations et de maltraitances, la décrivant davantage comme une "dame de compagnie".
Pourtant, Mgr Steck défend la place d’Hiromi dans la vie de l’acteur et s’étonne qu’elle n’ait pas été invitée aux obsèques d’Alain Delon, révélant qu’elle se trouvait isolée et "rejetée" après le décès de l’acteur.
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