Un média britannique se livre à ce sujet.
Les récentes révélations font vaciller l’image du souverain monégasque. Pour une fois, l’attention ne se porte pas sur sa relation avec la princesse Charlène, la mère de ses adorables jumeaux, Gabriella et Jacques, mais sur des accusations bien plus sérieuses touchant son entourage familial.
Des allégations évoquent des irrégularités financières, des transactions immobilières suspectes, et même des enquêtes pénales pour favoritisme.
Selon les rapports du magazine américain "Bloomberg", cité par T-online, le prince Albert II aurait régulièrement favorisé ses neveux Pierre et Andrea Casiraghi, les enfants de Caroline de Monaco, lors de l’attribution de contrats de construction et d’immobilier.
Ces révélations auraient entraîné des enquêtes des autorités de contrôle.
Contactée par Bloomberg, la famille princière a nié toute malversation, mais des questions persistent. En effet, il y a quelques mois à peine, le renvoi de Claude Palermo, conseiller de longue date du palais et proche confident d’Albert II, avait déjà semé le doute. Ce dernier aurait été impliqué « dans des affaires de corruption ». La famille princière « ignorait-elle ces pratiques douteuses ? ».
Pierre et Andrea Casiraghi, fils de Caroline, sont actionnaires majoritaires du groupe immobilier Engeco. Ils sont au centre des accusations, notamment concernant la construction du nouveau yacht club de Monaco, précise le média.
Ces révélations soulèvent des questions sur « la transparence des marchés publics dans la principauté et sur l’utilisation des relations familiales pour des gains financiers personnels ».