Le mari de Charlène de Monaco se retrouve sous les feux des projecteurs suite à des révélations sur ses liens passés avec son ex-compagne, Nicole Coste.
Selon une enquête du journal Le Monde, le souverain aurait financé généreusement son ancienne flamme avec laquelle il a gardé de très bons rapports.
La somme de 350 000 euros aurait été déboursée pour l’acquisition d’une boutique à Londres au nom de Nicole Coste.
Ce n’est pas tout, croit savoir « Le Monde », qui affirme qu’elle aurait également obtenu un pied-à-terre, enregistré au nom de leur fils Alexandre.
Les largesses du prince ne se seraient pas arrêtées là, car il aurait également pris en charge les salaires de deux employées de Mme Coste, selon les notes de Claude Palmero, l’ancien administrateur des biens de la famille princière.
Face à ces révélations, le prince Albert II a tenu à réagir, contestant le rôle de Claude Palmero dans cette affaire. Il explique que les prérogatives de ce dernier ne lui permettaient pas de parler en son nom, dénonçant ses prises de parole de plus en plus fréquentes, parfois en contradiction avec ses propres décisions.
« Ses devoirs lui imposaient une discrétion absolue, que ses déclarations publiques ont violée. Ils lui imposaient également une loyauté que les derniers propos inacceptables qu’il m’a tenus ont foulée aux pieds », a déclaré le prince souverain du Rocher.
« En me séparant de M. Palmero, j’ai exercé le pouvoir de choisir l’administrateur des biens de mon choix. Les événements ont confirmé combien cette décision était la bonne », a-t-il ajouté.