
Carla Bruni a organisé une soirée pour célébrer les 70 ans de son mari, Nicolas Sarkozy, qui vit ses derniers instants de liberté. Dès la semaine prochaine, l’ancien président devra porter un bracelet électronique pendant un an.
Carla Bruni a souffert d’un terrible syndrome, un mal dont a aussi souffert Alexandra Lamy, qui avait ouvert son coeur à ce sujet en août dernier.
Il s’agit du syndrome du nid vide.
L’actrice en avait parlé lors d’un entretien accordé au magazine "Télé 7 Jours", où elle évoquait son personnage dans Belle mère, la dernière réalisation de Méliane Marcaggi. Son personnage est confronté à cette sorte de dépression dont souffriraient certaines femmes lorsque leurs enfants entrent dans l’âge adulte.
"Louise y est confrontée comme moi aujourd’hui. C’est terrible de se dire, je n’ai plus à m’occuper de mon enfant. Il n’a plus besoin de moi », a-t-elle indiqué. Mais elle garde une bonne relation avec sa fille Chloé à laquelle elle livre de temps à temps à autre des conseils.
En entretien avec Quotidien sur TMC, Carla Bruni a confirmé un certain mal-être suite au départ de son fils Aurélien, né de sa relation avec Raphaël Enthoven de la maison. L’épouse de Nicolas Sarkozy a écrit une chanson dans ce sens.
"Dans l’album, il y a une chanson qui s’appelle La Chambre vide. C’est une chanson sur le départ d’un enfant du domicile familial. Il est parti, votre fils ?", a demandé Yann Barthès.
Carla Bruni a répondu par l’affirmative.
Il est parti. Puis là toutes les facs ont fermé, donc il est revenu", a confié l’ex-première dame, qui s’est aussi livrée sur ses années à l’Elysée dont elle ne garde pas que de bons souvenirs.
"C’est vrai que, quand il n’est pas là, vous allez dans sa chambre pour respirer un peu son odeur ?", a reconnu Carla Bruni, qui aussi la maman d’une petite Giulia, née de sa relation avec Nicolas Sarkozy.
"Ça fait pathétique un peu. Non, en fait, moi, je suis très heureuse qu’il soit parti", ajoute la star, qui malgré cette angoisse est ravie que son fils vole de ses propres ailes. "Mais il m’est arrivé de retourner dans sa chambre l’année dernière et de me dire : ’Mais enfin, c’est pas possible".
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