« Seul politique à figurer dans le Top 50 des Français », dressé par le JDD, Jordan Bardella « risque de donner des maux de tête à ses amis comme à ses adversaires ». Un poison qui risquerait de chambouler sa relation avec Marine Le Pen.
Pour arriver au second tour de l’élection présidentielle, où elle retrouvera Emmanuel Macron pour un second round, Marine Le Pen se serait inspirée par Anne Roumanoff.
L’humoriste a été érigée en exemple par la candidate du Rassemblement National à la présidence de la république, a précisé Le Parisien, qui dévoile les coulisses de cette campagne.
Alors qu’Eric Zemmour, qui était présenté comme son grand rival, attirait les projecteurs et préparait de grands meetings, la maman de trois enfants faisait quant à elle montre de discrétion, en allant à la rencontre de l’électorat rural et périurbain sur les marchés.
Son directeur de campagne, Jean-Philippe Tanguy, contacté par le Parisien, a évoqué Anne Roumanoff comme une source d’inspiration.
« On va faire comme Anne Roumanoff. Au début de sa carrière, on rigolait parce qu’on la trouvait plouc », a-t-il déclaré. Du coup, elle est partie en province, y a remporté du succès et a fini par faire des salles à Paris ».
Pourtant, à l’époque, certains cadres à l’époque.
« Elle ne commet pas de faute, mais elle est inaudible, elle ne dégage
aucun message », disait-il.
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