Anne-Sophie Lapix, "agression" sournoise sur France 2, sa grosse réplique
Critiquée en mars dernier suite à son interview compliquée avec le premier ministre, Anne-Sophie Lapix obtient une petite revanche. Elle cartonne avec son JT.
Ces derniers jours, les audiences de son JT se rapprochent celles de TF1, le rendez-vous de Gilles Bouleau.
Le JT de TF1 a été regardé par 5 586 000 téléspectateurs, soit 25.5 % de part de marché, tandis que celui proposé par Anne-Sophie Lapix a été suivi par 4 829 000 téléspectateurs, soit 22 % de part de marché. Un beau score, synonyme de claque à ses détracteurs, très présents sur les réseaux sociaux. France Dimanche évoquait même une agression.
Le contenu de son JT, la ravissante blonde a eu l’opportunité d’en parler lors d’un entretien accordé À TV Mag, où elle n’a pas échappé à une question sur le traitement du Covid-19.
"Il faut une vraie humilité. On s’adapte au fil de l’actualité, on découvre les conséquences de la maladie, les changements de point de vue", a précisé Anne-Sophie Lapix.
"Au départ, on a avancé dans le flou, en étant le plus prudents possible pour ne pas annoncer des choses qui ne seraient plus valables quinze jours après", a-t-elle ajouté.
en mars dernier suite à son interview compliquée avec le premier ministre, Anne-Sophie Lapix obtient une petite revanche. Elle cartonne avec son JT.
Ces derniers jours, les audiences de son JT se rapprochent celles de TF1, le rendez-vous de Gilles Bouleau.
Le JT de TF1 a été regardé par 5 586 000 téléspectateurs, soit 25.5 % de part de marché, tandis que celui proposé par Anne-Sophie Lapix a été suivi par 4 829 000 téléspectateurs, soit 22 % de part de marché. Un beau score, synonyme de claque à ses détracteurs, très présents sur les réseaux sociaux. France Dimanche évoquait même une agression.
Le contenu de son JT, la ravissante blonde a eu l’opportunité d’en parler lors d’un entretien accordé À TV Mag, où elle n’a pas échappé à une question sur le traitement du Covid-19.
"Il faut une vraie humilité. On s’adapte au fil de l’actualité, on découvre les conséquences de la maladie, les changements de point de vue", a précisé Anne-Sophie Lapix.
"Au départ, on a avancé dans le flou, en étant le plus prudents possible pour ne pas annoncer des choses qui ne seraient plus valables quinze jours après", a-t-elle ajouté.
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