Pendant la face à face devant les juges, l’accusatrice aurait décrit le déroulé des événements l’ayant amenés à porter plainte, revenant notamment sur ce premier rapport consenti et ce second « qui lui aurait ensuite été imposé ».« Il aurait maintenu ne pas l’avoir forcée, a confié une source proche de l’enquête au magazine Public.
« Il aurait présenté ses excuses, expliquant n’avoir pas compris qu’elle ne consentait pas à ce rapport ».
Son ex-femme Sylvie Journo, la mère de ses trois filles, l’aurait défendu.
« Elle a indiqué aux enquêteurs n’avoir jamais assisté ni eu vent de comportements violents de la part de son ex-compagnon », a fait savoir un proche.
Mais dans cette épreuve, Ary Abittan aurait été lâché par Sarah-Line A, une entrepreneuse, qui partageait sa vie depuis quelques années.
Elle serait en effet dans une situation embarrassante, non seulement pour avoir été « trompée », mais surtout vis—à-vis de ses engagements.
Elle est en effet membre d’une association de lutte contre les violences sexuelles et sexistes, Handsaway.