Même si l’acteur de 49 ans n’est plus mis en examen, les
les juges d’instruction chargées des investigations ont toutefois reconnu le stress post-traumatique « indiscutable » de la plaignante, une étudiante de 23 ans, présentée à l’époque comme sa maitresse.
Comme le rapportait le magazine Voici, Ary Abittan persistait dans sa stratégie : affirmer que la relation sexuelle était consentie. Et à l’époque, la justice semblait peu réceptive à ses arguments...
Après avoir entendu sa présumée victime , c’était désormais le tour de l’acteur de se présenter devant le juge. C’était en novembre dernier.
Une étape cruciale pour celui qui se retrouve persona non grata dans le monde du cinéma et de la télévision.
En compagnie de son avocate, maître Caroline Toby, Ary Abittan était arrivé au palais de justice de Paris vers 10 heures du matin, pour n’en ressortir que cinq heures plus tard.
Durant ce temps, le papa de trois fille n’a pas dévié de sa version des faits. Il admettait avoir eu une relation sexuelle avec la plaignante cette nuit du 30 octobre 2021, mais aurait affirmé que celle-ci était totalement consentie.
Malgré les éléments du dossier, qui révèlent que la jeune femme a été prescrite deux jours d’ITT (incapacité temporaire de travail) après cette soirée, Ary Abittan maintenait fermement son innocence.
Bien qu’il ait exprimé des regrets et choisi de faire profil bas, il persistait à clamer qu’il n’a pas forcé sa présumée victime.
Avec une peine encourue de quinze ans de réclusion criminelle, l’acteur avait tenu bon jusqu’au bout. À la sortie du Palais de justice, ses proches ont déclaré qu’il était « un peu soulagé », rapportait la publication.
Et pendant la confrontation avec son accusatrice, cette stratégie aurait été maintenue.