Benjamin Castaldi a été interrogé sur le chroniqueur le moins utile dans TPMP et ne se prive de balancer le nom de Cauet, qui a rejoint le rendez-vous de Cyril Hanouna cette saison.
« Je pense qu’il a certainement le problème que l’on peut avoir lorsque l’on est animateur vedette : c’est de se positionner face à des chroniqueurs qui ne sont pas forcément des animateurs vedettes et face à un autre animateur vedette », explique-t-il.
Et de poursuivre : « Moi, je n’ai pas ce problème-là et je pense sincèrement que c’est compliqué et il faut l’accepter. Moi, j’ai fait ce pas en avant ».
« Il faut accepter d’être en-dessous du chef quand on vient ici. Il faut faire un travail de deuil du vedettariat et si on le fait simplement et humblement, on passe un très bon moment. Je l’ai fait et je me régale », ajoute par ailleurs l’ex présentateur de « Secret Story ».
Benjamin Castaldi a aussi chargé Stéphane Guillon.
« C’est un grand tarba [un bâtard en verlan, NDLR]. C’est le mec le moins courageux de ce métier. Dès qu’il y a une embrouille, il part en courant. Je n’ai qu’un conseil : ’Va t’acheter une paire de roubignoles », lance-t-il.
Et de poursuivre : « Je ne l’aime pas (...). Je m’en fous de son talent. Il est lâche, faux derche, il sort des attaques souvent par derrière et devant, plus rien. C’est, comme disait Coluche : ’C’est pas dur à chier, c’est déjà de la merde ».
Benjamin Castaldi en veut au polémiste depuis de très nombreuses années, à cause d’un papier sur son fils Enzo, comme il l’expliquait en octobre dernier sur le plateau de TPMP.
« Il avait fait un papier pas très drôle où il disait ’Quand on voit ses grands-parents, son père et ce qu’il est lui, on s’inquiète pour la santé mentale du petit Enzo’. Mon dernier fils. Ça m’avait mis franchement les boules », reconnaissait-il.
« J’avais donc voulu l’attraper pour lui dire combien je l’aimais. J’ai pas eu le temps, il avait disparu. Du coup, hier, quand j’ai vu cette séquence où on l’a vu partir doucement mais très vite quand même, je me suis dit ’Depuis dix ans, il s’est toujours pas acheté une paire de roubignoles », disait-il.
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