Le mystère entoure la tristesse de Raphaël, fils de Gad Elmaleh et Charlotte Casiraghi, lors de sa présence au Grand Prix de Monaco. Il ne semblait pas heureux !.
En plus du double cancer qui lui complique la vie depuis trois ans, Bernard Tapie serait confronté à une nouvelle épreuve, celle de la séparation. Et ça lui pèserait.
"L’homme d’affaires aura du mal à se relever de cette énième épreuve", rapporte France Dimanche dans son édition du 22 mai.
Et nous nous attendions à une distance avec sa tendre épouse, Dominique, mais il n’en est rien. À aucun moment, il n’est question de sa vie sentimentale.
La séparation à laquelle l’hebdomadaire fait référence est celle de "séparation" d’avec son hôtel particulier à Paris, son cocon qu’il a acquis en 1986. Un crève-cœur pour ce fils et petit-fils d’ouvrier.
"Quand je suis né, vous savez quelle était ma chance d’entrer ici ? Devenir le facteur du quartier", avait-il confié.
Le 30 avril dernier, Bernard Tapie aurait très mal vécu la décision du tribunal de commerce de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, qui a ordonné la "liquidation de la Financière et immobilière Bernard Tapie et du Groupe Bernard Tapie, deux sociétés détentrices de plusieurs de ses actifs".
Cette liquidation permettrait de rembourser les 438 millions minimum "que l’homme d’affaires doit aujourd’hui à ses créanciers".
Et il se pourrait que l’hôtel de Cavoye, "une perle du VII ème arrondissement", dont la valeur est estimée à 90 millions d’euros, soit mis en vente.
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