La nature de cette vengeance est annoncée par le magazine France Dimanche dans son numéro daté du 25 février.
« Face à la colère de sa femme, le chef de l’État n’aurait rien pu faire », a précisé la publication.
L’hebdomadaire rappelle cette poursuite de la dame pour arrêter la propagation d’une rumeur sur les réseaux, un bruit colporté par journaliste indépendante, Natacha Rey, et une médium, Amandine Roy.
Ces deux femmes prétendent que la maman de trois enfants est transgenre, c’est-à-dire née dans un corps d’homme.
Cette rumeur a été balayée par une enquête minutieuse de France Dimanche qui suivi à la trace le parcours de la première dame.
Irritée par ces ragots, Brigitte Macron n’a donc pas tardé à « assigner ces deux femmes devant le tribunal judiciaire de Paris, s’appuyant sur le fondement des dispositions du Code civil relatives à la vie privée.
À cette démarche, elle a associé ses trois enfants, ainsi que son frère, Jean-Michel Trogneux, également mis en cause par le duo ».
Une audience est prévue le 15 juin.