Alors que les funérailles de Jane Birkin se déroulaient à l’église Saint-Roch à Paris cette semaine, Carla Bruni et Nicolas Sarkozy ont choisi de s’éloigner de l’agitation pour profiter de moments paisibles dans le sud-est de la France.
Si Carla Bruni a réussi à tenir le coup et surmonter la médiatisation durant ses années de mannequinat, c’est essentiellement grâce à sa famille. Elle a réussi à garder les pieds sur terre.
L’épouse de Nicolas Sarkozy actuellement en pleine promotion de son dernier album en parle face aux caméras de 50 Minutes Inside, le rendez-vous hebdomadaire de Nikos Aliagas sur TF1.
"Il est certain que quand j’ai commencé à être mannequin, dans les années 1990, j’ai senti la structure dont j’avais bénéficié", précise l’heureuse maman de deux enfants dont la petite Giulia, née de sa relation avec Nicolas Sarkozy. La fillette apparait déguisée avec un masque de loup dans son dernier clip.
"Tout d’un coup, quand je me suis retrouvée à voyager tous les jours, à être dans des fêtes incroyables, à voir des gens qui, tout doucement, perdaient pied, je me suis rendue compte qu’à cet âge-là, cette famille m’avait donnée une espèce de ’self esteem’ (confiance en soi)", ajoute Carla Bruni.
"Moi j’ai toujours fui les prédateurs... Moi Weinstein ne me faisait pas monter dans sa chambre".
"Parce que quand on a une famille solide, quelque part on a plus de sens du danger, on tombe moins dans les pièges... Donc ça m’a beaucoup aidée, oui. C’est une grande chance. C’est un bouclier et c’est une chance."
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