Carla Bruni-Sarkozy, l’épouse de l’ancien chef de l’État Nicolas Sarkozy, a été interrogée ce jeudi en audition libre par les enquêteurs dans le cadre de l’information judiciaire portant sur la rétractation de l’intermédiaire Ziad Takieddine.
S’il est une chose que Carla Bruni se refuse désormais à faire, c’est de parler de politique, indique le magazine Vanity Fair qui lui offre sa Une en ce mois d’août.
Et après être revenu sur son parcours, il est affirmé que l’épouse de Nicolas Sarkozy a l’interdiction de parler de politique.
Ses producteurs le lui déconseillent.
« Les producteurs de disques ne veulent pas qu’elle parle de politique, à chaque fois, ça la plombe », indique Véronique Rampazzo, sa fidèle amie et son agent.
Vanity Fair nous apprend aussi que dans l’une des chansons intitulées Les Salopards, Carla Bruni règle ses comptes avec ses détracteurs.
« Je ne l’ai pas encore chantée, c’est un peu à la Brassens », indique-t-elle en riant, tout en prenant sa guitare et son air innocent.
« J’en ai soupé des salopards/J’en ai bavé de leurs saletés, de leurs traquenards…J’m’en suis cogné des hyènes, des rats, des chiens, des salo***, des chacals. (…) C’est répondu, les salopards/c’est régulier, c’est tout partout, ça prend le pouvoir, ça m’a dressé, ça m’a éduquée sur le tard », chante-t-elle.
Carla Bruni affirme pourtant que son titre ne parle pas forcément du monde politique, et n’est pas adressé à François Hollande auquel elle reprocherait toujours son comportement lors de la passation des pouvoirs.
« Il y a des tas de salopards partout, chez des journalistes également, rappelle la chanteuse.
La politique, ça rend les gens assez étrange, ils ont agressifs ou très soumis, il n’y a pas beaucoup d’entre-deux. Les médias, c’est pareil, ça les rend féroces, ils nous jugent sur tout, c’est troublant pour quelqu’un comme moi qui aime les relations tranquille ».
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