Carla Bruni, dans une vengeance terrible, ne compte pas rester les bras croisés alors que Nicolas Sarkozy vient d’être condamné à un an de prison ferme en appel, rapporte le magazine Ici Paris.
Après avoir parlé de Valérie Trierweiler, Tristane Banon s’intéresse à Carla Bruni, qui a préfacé son livre « Love et caetera », qui vient de débarquer en librairie.
Valérie Trierweiler, DSK, ou encore sa vie sentimentale, celle qui avait accusé l’ex patron du Fonds Monétaire International d’agression sexuelle en 2011 se livre longuement dans les colonnes du magazine « Voici », où elle évoque également Carla Bruni.
« Comme tout le monde, j’ai jugé de manière péremptoire sa liaison avec Nicolas Sarkozy », confie la jeune femme, enceinte de son premier enfant de sa relation avec l’ex joueur du Paris Saint Germain, Pierre Ducrocq.
« Mais en la rencontrant, j’ai découvert une femme follement amoureuse et on s’est trouvé plein de points communs. On a le droit de tomber amoureuse de qui on veut quelque soit sa couleur politique », dit-elle ensuite.
Au cours de cet entretien, Tristane Banon a également évoqué Valérie Trierweiler avec laquelle elle travaillait à « Paris Match ».
L’ex de François Hollande « n’a jamais été une amie même quand on travaillait ensemble à Paris Match ».
« Alors évidemment c’est une femme qui a clairement un problème de jalousie, mais son livre n’est selon moi ni du calcul ni de la vengeance c’est une forme de courage », dit-t-elle à propos du livre de l’ex première-dame, « Merci pour ce moment » qui s’est écoulé à plus de 700 000 exemplaires.
Tristane Banon a bien entendu eu un petit mot pour l’ancien potentiel président, DSK.
« Pour moi on parle de quelqu’un qui est mort », justement « le 15 mai 2011 » et de conclure à son sujet, « les morts font de très mauvais présidents ! ».
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