Charlène de Monaco doit faire face à une nouvelle humiliation alors que son mari, le prince Albert, lui fait comprendre qu’une autre femme est devenue plus importante pour lui.
Caroline de Monaco est censée sur le point de faire face à la justice pour défendre les intérêts de son mari, le prince Ernest-August de Hanovre. Elle ne prend la peine de répondre, en revanche, elle cite une anecdote sur les femmes en Albanie pour confirmer son inspiration des femmes fortes.
" Je dois me battre face à la justice », aurait déclaré l’ainée des Grimaldi selon les propos rapportés par « France Star ».
Il était fait référence aux déboires actuels du père de sa fille Alexandra, inquiété par la justice autrichienne pour s’en être pris à des policiers.
Ce bruit, l’ainée des Grimaldi ne prend par la peine d’y répondre, en revanche, elle rappelle son engagement féministe lors d’un entretien accordé à Madame Figaro.
"Sais-tu qu’en Albanie, il existe une communauté de femmes qui prennent la place des hommes ?", s’interroge-t-elle. "On leur accorde alors tous les droits, la considération et les privilèges accordés aux patriarches, mais elles doivent renoncer à leur féminité".
Et puis il y a aussi l’image "sacralisée de la fille, de la femme, de l’amoureuse, un corps de jeune fille éternel. Évidemment, la femme est donc plus violemment confrontée à la perte de sa féminité et de sa beauté", a ajouté la princesse de Hanovre.
e Monaco est censée sur le point de faire face à la justice pour défendre les intérêts de son mari, le prince Ernest-August de Hanovre. Elle ne prend la peine de répondre, en revanche, elle cite une anecdote sur les femmes en Albanie pour confirmer son inspiration des femmes fortes.
" Je dois me battre face à la justice », aurait déclaré l’ainée des Grimaldi selon les propos rapportés par « France Star ».
Il était fait référence aux déboires actuels du père de sa fille Alexandra, inquiété par la justice autrichienne pour s’en être pris à des policiers.
Ce bruit, l’ainée des Grimaldi ne prend par la peine d’y répondre, en revanche, elle rappelle son engagement féministe lors d’un entretien accordé à Madame Figaro.
"Sais-tu qu’en Albanie, il existe une communauté de femmes qui prennent la place des hommes ?", s’interroge-t-elle. "On leur accorde alors tous les droits, la considération et les privilèges accordés aux patriarches, mais elles doivent renoncer à leur féminité".
Et puis il y a aussi l’image "sacralisée de la fille, de la femme, de l’amoureuse, un corps de jeune fille éternel. Évidemment, la femme est donc plus violemment confrontée à la perte de sa féminité et de sa beauté", a ajouté la princesse de Hanovre.
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