Charlène et Albert de Monaco seraient toujours au cœur d’une affaire immobilière qui prend des proportions inquiétantes, impliquant quatre proches du prince souverain de la principauté. Des dossiers compromettants qui les affectent directement.
Après une période de tensions, Caroline de Monaco et sa belle-soeur, Charlène, partageraient une passion commune, celle de l’engagement caritatif. La première dame en parle.
L’épouse du prince Albert de Monaco s’est confiée lors d’un entretien accordé au magazine sud-africain You, où elle dévoile les coulisses du palais.
Et au passage, on apprend que si la maman des adorables Gabriella et Jacques n’avait pas fait son entrée dans la famille princière, sans doute serait-elle devenue professeure.
« Je suppose que je serais devenue missionnaire, ou enseignante », indique Charlène de Monaco, qui était aussi intéressée par le métier d’infirmière.
« Mon oncle est missionnaire - il a travaillé au Japon et en Australie, et il est maintenant en Zambie. J’ai effectué deux voyages sur place pour l’aider à restaurer une école », glisse Charlène de Monaco, qui partage la même fibre humanitaire que sa belle-soeur Caroline de Monaco, qui aussi très engagée en Afrique, notamment au Congo avec son partenariat avec la Fondation Panzi du docteur Mukwege, le prix Nobel de la paix, « qui répare les femmes victimes de violences sexuelles comme armes de guerre ».
« et nous avons une autre unité à Goma pour aider les femmes et les fillettes », confiait l’ainée des Grimaldi.
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