Céline Dion « ne chantera probablement plus jamais en public », la triste vérité sur son état
Une ombre de préoccupation plane sur la carrière scénique de Céline Dion, alors que des nouvelles alarmantes surgissent sur son état de santé.
Céline Dion victime d’une erreur médicale !
C’était pour éviter dans tomber dans l’enfer de l’addiction, mais aussi de soulager des erreurs que Céline Dion a pris la décision aurait pris la décision de se rendre au Mexique. Elle aurait consulté des chamans, en plus des spécialistes occidentaux.
Des détails sur son combat sont rappelés par le magazine France Dimanche.
Pour soulager les douleurs liées au syndrome de la personne raide, la chanteuse ingurgitait en secret toutes sortes de pilules avec l’aval de médecins « peu scrupuleux ».
Comme le précise France Dimanche, la diva québécoise qui pourrait se produire à Paris à l’occasion des JO n’a pas hésité à prendre du Valium afin de calmer « ces douleurs et ces spasmes qui lui rendaient la vie impossible ».
Il lui a été prescrit par des médecins en pleine erreur médicale. Ces praticiens ignoraient la maladie dont souffre Céline Dion.
« Nous avons commencé par deux milligrammes pour voir si cela pouvait aider, puis 2,5, puis 3, puis 15 et 50… », a-t-elle révélé. « Sans avoir de diagnostic. Donc, au début, ça aidait un peu. Mais très rapidement, il fallait que les doses montent », a-t-elle indiqué.
Et d’ajouter : « Quatre-vingt-dix milligrammes de Valium peuvent vous tuer. Et à un moment donné, le fait est que mon corps s’est habitué à 20, 30 et 40 [milligrammes], jusqu’à ce que ça augmente. Et j’en avais besoin. Cela détendait tout mon corps… Cela aurait pu être fatal. Je n’ai pas compris que j’aurais pu me coucher et arrêter de respirer… ».
Elle a été forcée d’arrêter en astreignant à un sevrage progressif très difficile à supporter.
« J’ai tout arrêté avec l’aide des médecins, parce que lorsque vous diminuez ces médicaments, vous pouvez aussi mourir. Vous ne pouvez pas tout arrêter », fait-il savoir.
Hélas, sans« le Valium, son cauchemar n’a tardé à reprendre, la conduisant à « s’en remettre en désespoir de cause à des chamans au Mexique », dans l’espoir d’en obtenir « un remède miracle ».
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