En plein cœur du "Dry January", Carla Bruni, l’ancienne première dame, se livre sur ses luttes contre les addictions, révélant une part méconnue de son parcours.
Cette tendance mondiale du "Défi de Janvier", où l’on s’engage à s’abstenir d’alcool pendant un mois, gagne en popularité, avec 30 % des Français prêts à adopter ce challenge pour des bénéfices avérés sur la santé, la beauté, le sommeil, et même les finances.
Des détails sont livrés par Ici Paris dans son édition de cette semaine.
Invitée du podcast « Contre-addictions » animé par la chanteuse et romancière Rose, l’épouse de Nicolas Sarkozy se confie sur son expérience personnelle avec les addictions.
« Je suis arrivée très vite au tabac vers 14 ou 15 ans, et ensuite l’alcool », avoue l’ex-première dame. Elle reconnaît aimer "une douce ivresse", mais souligne les défis d’une telle inclinaison. « Le problème, c’est que comme je suis une addict, je ne m’arrête pas à la douce ivresse, donc je suis obligée d’arrêter l’alcool ».
Un défi qu’elle s’efforce de relever, avouant toutefois des rechutes occasionnelles, comme le précise la publication.
« Je rechute environ une fois par mois, il faut bien profiter de la vie, mais il ne faut pas en abuser ! », concède Carla Bruni, qui aurait connu récemment un drame dans sa maison de rêve.
Elle partage ainsi son combat avec authenticité, participant à briser les tabous autour des addictions. En plus de l’alcool et du tabac, l’artiste évoque également une addiction surprenante de son passé, surmontée désormais : une consommation excessive de sucre, avec jusqu’à 40 Coca-Cola par jour et des dizaines de pastilles sucrées contre les maux de gorge, révélant ainsi une facette méconnue de sa vie qui a mis sa santé en péril.
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