Vêtue d’une robe sublime signée Akris, la première dame monégasque a rayonné sur le tapis rouge, tandis que la famille princière tentait de faire bonne figure malgré les tensions qui secouent le Rocher, rapporte l’édition en ligne du magazine Tatler.
Cette joyeuse apparition intervient en effet dans une période difficile pour les Grimaldi. Desaccusations de dépenses excessives et de corruption ont été portées contre le prince Albert, et d’anciens courtisans se sont prononcés contre lui dans la presse.
Au cœur de la tempête se trouve Claude Palmero, un ancien gestionnaire d’actifs de la famille princière.
Ses carnets, publiés dans Le Monde, font état de paiements secrets à des maîtresses et des enfants illégitimes, ainsi que de tentatives de la part d’Albert de limiter les dépenses de Charlène de Monaco. La maman de Jacques et Gabriella est présentée une acheteuse compulsive.
Malgré ces accusations, l’ex-nageuse est restée impassible. Son sourire radieux au Bal de la Rose semblait défier les rumeurs et les scandales.