
Charlène de Monaco, ancienne nageuse de haut et mère des jumeaux Jacques et Gabriella, fait face à un défi de taille : celui de concilier son passé d’athlète de haut niveau avec son rôle de mère.
Après une longue absence, Charlène de Monaco demeure toujours mystérieuse. Sa personnalité serait difficile à percer.
« Un baiser fougueux à Oslo, en Norvège, au mois de juin, augurait le rapprochement des époux Grimaldi… Patatras au Bal de la Rose, le 8 juillet, où la princesse a brillé par son absence », rapporte le magazine Closer, qui décèle de la tristesse chez la première dame monégasque.
Charlène de Monaco était absente au Bal de la Rose afin de ne pas faire de l’ombre à Caroline de Monaco, sa belle-sœur.
« Qu’à cela ne tienne, Charlène avait retrouvé son demi-sourire la semaine suivante, sculptée dans une robe Gucci, au 73e Gala de la Croix-Rouge à Monte-Carlo », glisse la publication.
Closer ne semble pas convaincu par la sérénité de l’épouse du prince Albert.
« Entre sourire de circonstance et blues tenace, difficile de percer le mystère Charlène, qui semble à la recherche du bonheur perdu ».
Le magazine Gotha a aussi souligné la personnalité indéchiffrable de l’ex-tueuse des bassins.
« Cela fait plusieurs semaines que ceux qui connaissent Charlène ont pris la parole pour tenter de démêler les zones d’ombre autour de sa personnalité. L’occasion de dépeindre une femme bien plus « iconoclaste » qu’on ne le pensait, qui refuse catégoriquement de marcher dans les pas de Grace Kelly, ou de Kate Middleton », est-il indiqué.
« Charlène a toujours eu soit un air de détachement total par rapport à ce qu’on pouvait penser d’elle, soit un masque de souffrance que rien ne pouvait illuminer. Elle a toujours été difficile à cerner, indéchiffrable. Elle n’était pas une femme trophée, comme on en croise souvent à Monaco. Elle n’était pas non plus une intrigante », a confié une source.
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