Le mariage de Charlène de Monaco avec le prince Albert II, célébré en grande pompe en 2011, cache une réalité plus complexe qu’il n’y paraît, selon un expert royal.
Si Charlène de Monaco était absente au Bal de la Rose, sans doute pour ne pas faire de l’ombre à Caroline de Monaco, Stéphane Bern, spécialiste des têtes couronnées, était bien présent.
Le Palais ne semble pas lui en vouloir pour son long article, perçu par les fans comme à charge à l’encontre de la première dame monégasque, durant son isolement en Afrique du Sud.
Stéphane Bern assurait de son côté que Charlène de Monaco était sous emprise.
« Aux yeux des patriotes monégasques, briller par son look ou ses absences d’un soir peut constituer une forme de revanche, mais un exil d’un semestre relève pour eux d’un abandon de poste », a écrit le journaliste et animateur dans un long dossier publié dans Paris Match.
Les crises de paranoïa de l’épouse du prince Albert de Monaco et les valses dans son entourage, étaient aussi soulignées.
« Charlène de Monaco a commencé à se méfier de tous, coupant les ponts un par un. Puis elle a cédé aux dires médiocres de quelques profiteurs qu’elle demandait au Palais d’appointer, avant de larguer les amarres », poursuivait Stéphane Bern.
A l’époque, tout le monde pensait que l’ancienne championne de natation était influencée par Dawn Earl, qui aurait dirigé une secte australienne.
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