Florent Pagny, qui a connu une rechute de son cancer l’an dernier inquiète son épouse, Azucena. Pas question qu’elle le lâche.
À bientôt 47 ans, la princesse Charlène continue d’incarner l’engagement et la détermination. Récemment nommée présidente de la Fédération monégasque de rugby, elle est aussi à la tête de la SPA du Rocher depuis 2022.
Pourtant, cette vie active et ses responsabilités semblent avoir laissé quelques traces, comme elle l’a confié dans une interview à Gala le 14 novembre.
Ses confidences sont reprises par le magazine France Dimanche.
Interrogée sur son rôle à la SPA, Charlène de Monaco a rappelé l’importance de la protection animale, une cause qui lui tient à cœur depuis toujours.
« Quand j’étais enfant, ma famille m’a sensibilisée au bien-être animal et à la lutte contre la maltraitance dont ils sont victimes. Nous avons toujours aimé et protégé les animaux », a-t-elle expliqué dans un premier temps.
La princesse a aussi partagé quelques réflexions personnelles sur sa vie de maman. Alors que ses jumeaux Jacques et Gabriella s’apprêtent à souffler leurs 10 bougies le 10 décembre prochain, l’épouse du prince Albert de Monaco semble réaliser à quel point le temps file. « Le temps passe trop vite », a-t-elle confié, évoquant pour l’occasion l’entrée prochaine de ses enfants dans l’adolescence.
En évoquant sa propre jeunesse, marquée par une discipline rigoureuse en tant que nageuse olympique, Charlène de Monaco a décrit une époque exigeante mais solitaire, rappelle l’hebdomadaire people.
« La natation prenait tout mon temps. Je consacrais mes journées, mes semaines, mon année à être au maximum de mon potentiel », a-t-elle indiqué.
Si ces souvenirs reflètent sa passion pour le sport, la princesse admet qu’il lui est désormais difficile de maintenir le même niveau d’intensité.
« Je marche, je fais du vélo, je nage aussi mais […] je ne pratique plus aussi intensément que par le passé », a-t-elle fait savoir.
Habituée à se surpasser physiquement, Charlène de Monaco confie qu’elle doit désormais écouter son corps.
« Jeune, je m’entraînais très dur, je me surpassais physiquement.
Aujourd’hui, je le fais avec modération. Ce qui est parfois assez difficile parce que ma nature est de battre des records, de gagner des médailles, d’aller au-delà de mes limites. Mais, à presque 47 ans, je ne peux plus faire cela… Mon corps ne me le permet plus, mon esprit et mon cœur peut-être, mais mon corps, lui, dit non ! »
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