Son hospitalisation suscitait de nombreuses interrogations, et la princesse avait suscité des inquiétudes quant à son état de santé, rappelle un média italien qui revient sur cette sombre histoire.
Bien que le risque soit désormais moindre, l’épouse du prince Albert n’a pas encore totalement récupéré, comme elle l’a confié dans une interview récente accordée à Monaco Matin.
Les rumeurs concernant la nature de sa maladie pendant son séjour en Afrique se précisent enfin, dévoilant une réalité difficile à accepter.
Les complications post-opératoires suite à une intervention à la tête sont à l’origine de l’immobilisation prolongée de Charlène en Afrique du Sud. Les mois d’hospitalisation font suite à une grave infection qui a mis sa vie en danger. La princesse sera toujours sous soins, et se rendrait régulièrement en Suisse.
Dans une récente prise de parole, elle a levé le voile à ce sujet.
« Je me sens bien mieux qu’au cours des dernières années. La douleur est moins intense et mon énergie est en évolution positive. La récupération est en cours, l’équilibre se rétablit, mais cela prendra encore du temps. Cependant, je suis satisfaite de mes progrès », s’était réjouie la maman de Jacques et Gabriella.
Selon une source proche, qui se livrait dans les colonnes du New York Post, l’opération subie par Charlène en Afrique du Sud était extrêmement grave et a failli lui coûter la vie. Après l’opération initiale à la tête, une infection sévère s’est développée, touchant les oreilles, le nez et la gorge.
Durant une période considérable, l’épouse du prince Albert de Monaco n’aurait pu se nourrir que par une paille, ne consommant que des liquides, et cette situation aurait entraîné une perte de poids significative, presque à moitié de son poids habituel.
Les rumeurs concernant des problèmes émotionnels ou des dissensions avec Albert, son mari, se révèlent infondées. Un ami proche de la reine a indiqué que son épuisement émotionnel est principalement dû aux multiples interventions chirurgicales qu’elle a subies.
Selon cette source proche de la première dame monégasque, l’unique motif qui l’aurait maintenue en Afrique du Sud était l’infection, « l’empêchant de supporter les variations de pression atmosphérique et l’empêchant ainsi de rentrer chez elle », où sa « famille lui manquait ». La dure réalité de la maladie a été un défi qu’elle a courageusement affronté loin de chez elle.