Charlène de Monaco aurait enfin surmonté les épreuves de la maladie, et le crédit en revient en grande partie au soutien inébranlable de son mari, Albert de Monaco.
Charlène de Monaco ne serait pas comprise par certains membres de son entourage. Elle serait mystérieuse. La seule qui la comprendrait est évidemment son mari, le prince Albert de Monaco, mais aussi sa belle-sœur, Stéphanie de Monaco.
Une proche de la première dame monégasque a pris la parole auprès du New York Post, qui a consacré un dossier à la personnalité cachée de l’épouse du prince Albert.
Soignée pour épuisement à l’étranger, peut-être en Suisse, Charlène de Monaco serait toujours détachée, l’air ailleurs, un peu comme si elle portait « un masque de souffrance ».
Elle serait difficilement cernable, presque indéchiffrable.
« Elle n’était pas une femme trophée, comme on en croise souvent à Monaco. Elle n’était pas non plus une intrigante », explique-t-elle.
Stéphanie de Monaco parlerait le même langage qu’elle.
« La vie m’a appris la compassion » a confié la sœur du prince Albert de Monaco, qui partage avec sa belle-sœur la même passion des animaux.
« Je sais que personne n’est à l’abri de rien et que personne n’est au-dessus de personne », a-t-elle ajouté.
« Si les gens vivaient la vie d’une princesse, ne serait-ce qu’une semaine, lâche la princesse monégasque, maman de trois enfants. Ils vivraient beaucoup moins. Nous sommes des êtres humains comme les autres avec nos peines, nos joies, nos rires, nos pleurs ».
Stéphanie Monaco explique que les membres de la famille princière souffrent évidemment de la même manière. « Sauf que nous souffrons toujours en public », a—t-elle lâché.
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