Lorsque la vie de Charlène de Monaco avait pris une tournure désespérée, elle se serait raccrochée à un mince espoir, incarné par une mystérieuse femme que certains considèrent comme une prophétesse de son destin.
Le prince Albert de Monaco a multiplié les propos rassurants sur le couple qu’il forme avec Charlène de Monaco. Mais cela n’empêche pas les rumeurs de divorce de continuer à circuler. La faute à une vieille malédiction qui pèse sur le couple royal.
« Reines et Rois » alimente des dissensions conjugales en se basant sur cette terrible malédiction du XIII siècle selon laquelle aucun Grimaldi ne trouvait le bonheur dans le mariage. Et ce mauvais sort continuerait à s’acharner sur le Rocher.
L’absence prolongée de la maman de Jacques et Gabriella « laisse penser qu’un divorce est dans l’air". Pourtant, c’est bel et bien pour soigner des conséquences physiques et morales d’une infection dans la zone ORL que l’épouse du prince Albert de Monaco est absente. Elle serait soignée dans une clinique en Suisse. Une rumeur prétend qu’elle pourrait sortir en douce pour poursuivre sa convalescence au Rocher, peut-être à domicile, o ù elle serait entourée d’une équipe soignante triée sur le volet. Cette solution présente l’avantage d’une proximité avec ses enfants.
Rois et Reines ne semble pas convaincu, tout le magazine Bunte, qui affirme que les déboires de la princesse Charlène de Monaco coïncident avec la requête d’une Brésilienne de 34 ans prétendant que le prince Albert de Monaco est le père de sa fille de 16 ans.
Le quotidien de Charlène de Monaco aurait été chamboulé. Le prince Albert garderait l’espoir.
« Il tente tant bien que mal de rassurer l’opinion publique à propos de son mariage avec Charlène que l’on aperçoit quasiment plus sur le Rocher », rapporte la publication. Il garderait en tout cas l’espoir de voir sa famille unie.
« Ne souhaite-t-il pas, au plus profond de lui-même, voir cette loi des séries de mariage malheureux cesser et pouvoir en finir avec cette malédiction touchant plusieurs générations ? », s’interroge le magazine.
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