
À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant, Charlène de Monaco s’est mêlée à la joie des jumeaux Gabriella et Jacques, dans une célébration orchestrée par le Département de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports...
Charlène de Monaco se sentirait de moins en moins bien sur le Rocher, et n’aurait qu’un seul désir, celui de fuir. Riche, belle et malheureuse.
Le magazine allemand « Die Aktuelle » s’intéresse à l’épouse du prince Albert de Monaco, occasion de relater de son récent séjour en Afrique du Sud où elle participait à une campagne contre le braconnage.
Son retour à Monaco a été retardé. Une infection ORL a été évoquée. Pour le magazine allemand, cette excuse ne serait pas crédible.
Quelques mois plus tôt, « Die Aktuelle » annonçait une « crise psychologique aiguë », amplifiée par la crise sanitaire.
Son stress se serait développé « en réaction à l’exposition à un événement traumatique », celui de la maladie de son mari, diagnostiqué l’an dernier avec le Covid.
Les confidences de Michael Wittstock, le père de la princesse, qui alimentait la fragilité de son illustre fille, née prématurée.
Sa fille avait souffert « de complications dont le syndrome de détresse respiratoire », ainsi qu’une rétinopathie, une croissance anormale des vaisseaux sanguins de l’œil.
La première dame de Monaco aurait aussi aurait montré des difficultés liées à celles des enfants prématurés à nouer des amitiés à l’âge adulte. Ils seraient aussi timides et anxieux.
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