Invité sur France Inter le vendredi 12 avril, Raphaël Glucksmann, le compagnon de longue date de Léa Salamé, n’a pas dissimulé son agacement en réponse à une question de Jordan Bardella, son concurrent, concernant sa vie privée.
Philippe Val, ancien directeur de Charlie Hebdo, était sur le plateau de l’émission de Canal Plus, ’Le supplément’, où il revient sur le drame survenu en janvier dans les locaux du journal satirique dont la rédaction a été décimée.
Et à ses yeux, les terroristes ont gagné. Pour l’ex patron du journal satirique, ’les terroristes ont gagné’ car monter désormais un journal comme ’Charlie Hebdo’ sans une protection permanente de la police, est devenu impossible.
Il y a quelques jours, c’était François Hollande qui revenait sur ce drame dans les colonnes du magazine « Society », où il avait évoqué les circonstances dans lesquelles il a appris la tuerie du 7 janvier dernier.
« J’étais dans mon bureau », se rappelle le président de la république. J’allais recevoir le président de Total. Mon portable a sonné. Je n’ai pas répondu. Mon secrétariat a été contacté directement par Patrick Pelloux (médecin urgentiste et chroniqueur à Charlie Hebdo, Ndlr) et je l’ai rappelé ».
« J’avais déjà reçu une alerte des services de police sur une fusillade qui avait éclaté dans les locaux de Charlie. Rien de plus. Nul ne savait encore s’il y avait des victimes », confie ensuite le chef de l’Etat. « Patrick Pelloux avait une voix déchirée par les sanglots », se souvient encore le prétendu compagnon de Julie Gayet.
« Il disait : ‘Ils sont morts, ils sont tous morts, viens vite.’ J’ai essayé de le faire parler, je lui ai demandé où il était, et il me répétait ‘Ils sont tous morts, ils sont là, je les vois’. J’ai compris que c’était grave. J’ai décidé de me rendre immédiatement sur les lieux, une fois les précautions prises. Arrivé, j’ai reconnu le chef du Samu’, précise le président.
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