Et la raison est précisée dans "Le Parisien" dans son édition du 23 juin. Il s’agit de la réouverture des cinémas et la reprises de tournage. Des faillites auraient été frôlées par de nombreux producteurs.
"C’était leur première séance. Les exploitants de salles étaient heureux de retrouver le public, au rendez-vous hier matin pour la réouverture des cinémas", a glissé en outre la publication.
Si les exploitants sont heureux, c’est aussi le cas des producteurs et des acteurs.
Par ailleurs, au détour d’un article où il est question d’une prétendue crise conjugale entre le fils de Carole Bouquet et Charlotte Casiraghi, Voici évoque un désastre industriel, celui de Playmobil.
Le producteur de 38 ans est arrivé dans le milieu du cinéma en 2005 "comme d’une des jeunes producteurs les plus prometteurs de sa génération", précise la publication.
Mais il aurait vite était rattrapé par les difficultés du métier.
Si le mari de Charlotte Casiraghi a réussi quelques coups, l’échec cuisant de Playmobil aurait été vécu comme un drame personnel . Le média espagnol El Confidentiel l’évoquait au début de l’année.
Ce film d’animation a rapporté 13 millions d’euros, mais il a "coûté cinq fois plus".